Inventons ensemble les Pays de la Loire de demain
Pour vous rendre sur le site dédié cliquez ICINotre consommation d’énergie, lorsqu’elle émet du CO2, provient principalement :
du pétrole : il est responsable de plus de la moitié de nos émissions de CO2
de l’électricité (une partie de l’électricité consommée en Pays de la Loire est produite avec du fuel ou du charbon)
du gaz naturel (naturel certes, mais polluant...)
de sources renouvelables (bois, principalement)
de vapeur et chauffage (réseaux urbains de chaleur)
du charbon
Un habitant des Pays de la Loire émet en moyenne 10,09 tonnes de CO2 par an. C’est davantage que la moyenne française (8,25 tonnes de CO2 par habitant et par an).
80% des nos émissions de gaz à effet de serre sont directement ou indirectement liées à nos transports (consommation de carburant) et à nos bâtiments (énergivores, faute d’une isolation suffisante).
Pour réduire nos émissions de CO2, deux pistes sont clairement identifiées. Il faut les développer concomitamment :
économiser l’énergie
substituer aux énergies fossiles des énergies renouvelables
En travaillant sur ces deux axes, la Région espère obtenir une réduction des émissions de gaz à effet de serre sur son territoire de 30% à horizon 2020.
6 fiches pour visualiser les objectifs
1. Changer l’énergie
Consommer moins d’énergie, moins de pétrole, rejeter moins de gaz à effet de serre. C’est le défi que les habitants des Pays de la Loire doivent relever.
Objectif : lutter contre le changement climatique et réduire notre dépendance
aux énergies fossiles. La Région avance sur la maîtrise de l’énergie et sur le recours aux énergies renouvelables.
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2. Bouger autrement
Les Ligériens ont la bougeotte. Pour le travail ou pour les loisirs, ils se déplacent davantage que la moyenne des Français. La mobilité est à l’origine de plus de 20% de leurs émissions de gaz à effet de serre car l’automobile reste, de très loin, leur moyen
de transport favori. Pourtant, le développement de L’offre de transports collectifs (TER, tram-train) rencontre un grand succ ès auprès du public.
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3. Produire sain, consommer local
À l’image des autres régions, les Pays de la Loire ont vu un grand nombre de petites exploitations agricoles disparaître ces dernières années. Le paysage agricole se transforme à grande vitesse. La tendance est aux productions de qualité et aux circuits courts. L’agriculture biologique se développe À un rythme soutenu.
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4. Construireune économie verte
La transition écologique consiste à « verdir » en profondeur notre modèle de production et de consommation. Elle est sans doute la meilleure façon de relever les défis environnementaux tout en assurant un développement économique équilibré. D’une part, tous les secteurs d’activité doivent se transformer. D’autre part, il s’agit de créer des éco-filières innovantes et créatrices d’emplois.
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5. Préserver le vivant
La région des Pays de la Loire abrite plus de 1 800 espèces floristiques et quelque 500 espèces de vertébrés. Comme ailleurs, nombre d’entre elles sont en danger. Pour Inverser la tendance, le Conseil régional a engagé un plan 2010-2012 en faveur de la biodiversité. Une question de cohérence, sur un territoire qui a demandé la reconnaissance du préjudice écologique lors du procès de l’Erika.
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6. Priorité à l’humain
Santé, indicateurs sociaux, éducation : l’état des lieux du « développement humain » de la Région est encourageant. La formation des jeunes, la lutte contre l’obésité, la solidarité avec le grand âge et la lutte contre les discriminations comptent parmi les défis à relever.